Vendredi08/02/13 En mode empathique.
Margaux auras beau me dire et me redire qu’elle va bien je ne peut m’empêcher de me sentir triste, désoler et coupable lorsqu’elle parle de son père ou que se qui s’est passé me revient en tête. Triste parce que c’est vraiment pour moi la chose la plus affreuse au monde. Désoler parce que j’aimerais tant pouvoir faire quelque chose, n’importe quoi. Coupable; coupable d’avoir toujours mon père et de (je pense) trop souvent parler de lui.